La victimisation musulmane, tactique pour une islamisation de la France ?

Pétition contre l’islamisation de la France : https://damocles.co/non-islamisation-france/

Les faits

Trente-cinq ans que cela dure. En 1983, l’usine Talbot de Poissy (PSA) doit promettre d’ouvrir une salle de prière dans l’entreprise, afin d’éviter une grève générale « contre le racisme ». Nul ne s’imagine alors que les revendications religieuses vont devenir monnaie courante sur les lieux de travail. Pourtant, avec l’explosion du nombre de musulmans en France – au moins 6 millions aujourd’hui, contre à peine 300 000 dans les années 1950 – notre pays fait face à des problématiques qui lui semblaient jusque-là étrangères.

À rebours de notre Histoire et de notre culture, des revendications d’horaires séparés dans les piscines municipales se sont multipliés ces dernières années, à Trappes, Beauvais, Argenteuil ou encore Mantes-la-Jolie. En 2003, c’est Lille et son maire socialiste Martine Aubry qui lancent le mouvement. Aubry prétend alors que cet horaire réservé est « pour les femmes atteintes d’obésité », avant d’ajouter que « le quartier de Lille-Sud abrite une importante communauté musulmane ». Résultat : les musulmanes s’accaparent le créneau horaire et exigent que leur professeur d’aqua-gym soit obligatoirement une femme.

Plus révélatrice encore : la question du voile islamique. En 2008, une directrice de crèche de Chanteloup-les-Vignes, dans les Yvelines, licencie son adjointe Fatima Afif, qui refuse d’ôter son voile islamique. C’est l’ « affaire Baby-Loup ». Malgré le règlement intérieur, stipulant clairement « le respect des principes de laïcité et de neutralité », Fatima Afif porte plainte pour « discrimination ». Les médias politiquement corrects s’emparent de l’affaire, symbole du danger qui guette : la remise en cause directe de la laïcité à la française, ce qui nous semblait évident dans notre vie en société depuis plusieurs décennies. La directrice de Baby-Loup gagne devant la Cour de cassation, mais la brèche est ouverte.

Implantés sur notre sol par l’immigration massive, les militants de l’islam ne font pas la différence entre vie privée et espace public. Leur religion est politique par nature. Quand les sénateurs français tentent de légiférer pour imposer la neutralité religieuse dans les structures pour mineurs, le chantage électoral musulman commence. Le Collectif Contre l’Islamophobie en France (CCIF) de Marwan Muhammad considère qu’il s’agit d’une « nouvelle loi d’exclusion des femmes musulmanes ». Avant de menacer : « Faute de réponses franches et constructives […] nous veillerons tous à adresser aux candidats socialistes un message clair et limpide, à chaque scrutin à venir, que ce soit au niveau national en avril prochain ou à l’échelle locale, lors des élections municipales et législatives. »

La menace électorale est bien réelle. En 2012, 86 % des musulmans votent pour faire élire François Hollande à l’élection présidentielle. Trois ans plus tard, en 2015, « le gouvernement et les chefs de file socialistes de l’Assemblée» préfèrent reporter l’examen du texte sur la neutralité religieuse, « vidé de ses dispositions les plus contestées […] après les élections départementales» précise Le Monde. Avant d’ajouter pour explication, « l’atmosphère déjà empoisonnée» par la question du voile islamique. Désormais, les Français se mobilisent eux-mêmes contre l’islamisation de leur pays en signant cette pétition : https://damocles.co/non-islamisation-france/.

Le choix des mots médiatiques

« Discrimination », « exclusion », « islamophobie »… Le vocabulaire de victimisation des musulmans s’est répandu au fil des années dans les discours publics. Il permet aux médias politiquement corrects d’assouvir leur idéologie pro-immigration, quels que soient les faits contraires. Quant aux politiques de gauche, il leur permet d’obtenir le pouvoir en flattant l’électorat immigré. L’exercice est pratiqué sans discontinuer depuis François Mitterrand et SOS Racisme dans les années 1980 jusqu’à Emmanuel Macron, en passant par la stratégie Terra Nova du Parti socialiste de François Hollande en 2012.

Si cela a pu fonctionner électoralement, c’est que la victimisation fait appel à nos réflexes culturels. Défendre celui qui est minoritaire, celui qui est en position de faiblesse, est un acquis du christianisme. De même, le mea culpa chrétien est désormais utilisé contre les Français afin de défendre jusqu’aux djihadistes, ceux qui se sont engagés contre notre pays, pour tuer nos concitoyens. Par un prétendu « humanisme », nous sommes poussés à prendre l’Autre pour une simple « version malade » de nous-mêmes, sans plus comprendre sa différence et sa divergence idéologique.

Les conséquences funestes sont désormais là, au quotidien. Les islamistes et les organisations musulmanes jouent de la culpabilisation des Français vis-à-vis de l’Histoire. « Esclavage », « colonisation », « génocide » sont autant de mots employés pour justifier la présence de l’islam et le développement de ses pratiques en France. À Bobigny, l’élu du parti politique musulman UDMF (Union des Démocrates Musulmans de France), Hocine Hebbali, travaille ainsi à la création d’un « musée de la colonisation française ». Faire connaître aux jeunes issus de l’immigration la colonisation et l’esclavage pratiqués par les musulmans pendant treize siècles n’est par contre jamais envisagé…

Ce que le gouvernement oublie un peu vite

Toute remise en question de pratiques islamiques dans le débat public est désormais suivie d’accusations de « racisme » ou d’ « islamophobie ». Alors que l’islam n’est pas une race et que la « peur » d’une religion n’est pas (encore) un délit. De même, l’invocation systématique d’un « appel à la haine » pour faire condamner les critiques de l’islam en justice ressemble furieusement à l’exercice d’une censure islamique. Les « droits de l’homme » revendiqués lors de chaque affaire servent d’immunité, tant que le rapport de force est défavorable à l’échelle nationale. Il suffit d’analyser les pays musulmans pour comprendre ce qu’il se passe ensuite…

Pouvoir imposer ses vêtements religieux dans l’espace public est une étape essentielle dans l’islamisation d’un pays. Pour ce faire, les musulmans peuvent compter sur des idiots utiles invoquant à tout bout de champ le « droit » et la « liberté ». Au cours de l’été 2016, le « burkini » est interdit du centre aquatique de Fort-Mahon dans la Somme pour des questions d’hygiène. Une musulmane saisit le « Défenseur des droits » en se plaignant de « discrimination » religieuse. Avec l’appui de la Ligue des droits de l’homme, le CCIF obtient la suspension des arrêtés municipaux interdisant le burkini.

L’utilisation du droit occidental pour faire avancer l’islam commence à payer. Se disant elles aussi victimes de « discriminations », des mères voilées militent désormais pour accompagner les sorties scolaires des enfants. Elles peuvent s’appuyer sur Najat Vallaud-Belkacem, ministre de l’Éducation de François Hollande, qui se prononce en leur faveur, au cas par cas, en 2014. Oubliée la circulaire Chatel de 2012 exigeant la neutralité religieuse. désormais le collectif militant musulman « Mamans Toutes Égales » s’appuie sur un flou juridique pour obtenir satisfaction.

La mise à « égalité » n’est plus envisagée que dans un sens : de la laïcité vers l’islamisation. Au début des années 2000, plutôt que de se plier aux lois françaises et de retirer leur voile, les jeunes filles musulmanes pouvaient déjà demander à l’Union des organisations islamiques de France (UOIF) de prendre à sa charge leurs frais de justice. En 2011, Hind Ahmas, porteuse de la burqa – voile intégral musulman, interdit dans les lieux publics – annonce son intention de faire annuler la loi française auprès de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH).

Malgré sa condamnation, elle continue à porter la burqa, tout en osant se plaindre de « la montée de l’islamophobie qui est absolument intolérable ». Son amende est finalement payée par le militant algérien Rachid Nekkaz. Entre 2010 et 2016, ce dernier affirme avoir payé 1169 amendes de femmes portant la burqa en France. Il s’en vante encore devant les caméras, comme pour souligner à quel point les lois françaises n’effacent pas les lois coraniques. Comme si elles n’étaient que provisoires, le temps que…

Ce que l’on peut en penser

De la victimisation à la provocation, d’un prétendu « choix individuel » au combat communautaire, l’islamisation s’appuie sur tout ce qui lui sert pour avancer. Face à elle, nos sociétés occidentales ne cessent de renvoyer une image d’impuissance et de faiblesse coupables. Les médias politiquement corrects voudraient faire croire qu’en étant toujours plus « ouvert » et « tolérant » vis-à-vis de de l’islam, les militants musulmans finiront par rendre la pareille, dans un jeu de miroir. Mais la réalité diffère chaque jour davantage de cette illusion enfantine. À mesure que la population musulmane grandit, sa pression communautaire s’accroît.

Le 12 mars 2019, une musulmane voilée vient déposer son CV dans un magasin de vêtements Etam. Respectant la neutralité religieuse de son entreprise, la responsable refuse de la recevoir. La musulmane crie alors au « racisme » sur les réseaux sociaux et déclenche un buzz médiatique. La victimisation des musulmans est tellement ancrée dans les esprits, suscite tant de craintes de représailles, que la responsable du magasin est tout simplement mise à pied par sa hiérarchie, sans aucune preuve…

Se croyant désormais tout permis, car assez nombreux, les militants de l’islam repoussent toujours plus loin les limites de l’indécence. Le 22 janvier 2019, l’hystérie s’empare des réseaux sociaux où de nombreux musulmans appellent au boycott d’un papier toilette vendu par Mark & Spencer. La raison ? Ils croient lire « allah » en lieu et place de la simple feuille d’aloe vera dessinée sur le papier toilette. De la victimisation à l’islamisation, ils obtiennent son retrait, malgré le fait qu’il s’agisse d’un délire collectif.

Devant la multiplication de tels faits, nombre de Français sont abasourdis et consternés. Heurtés dans leur identité, leur culture, leur art de vivre. Mais si rien ne nous a préparés à côtoyer de tels moeurs au quotidien, rien ne nous oblige à les subir sans réaction. Anticipant les demandes du marché, certaines entreprises tentent d’adapter leurs produits à la présence de plus en plus massive de l’islam en France. Mais rien ne nous oblige à l’accepter et à en subir les conséquences.

Le rapport de force dans notre société est un combat permanent. Après avoir compris comment il basculait peu à peu en leur défaveur, des Français n’hésitent plus à se mobiliser pour défendre leur héritage. Fin février, la marque Decathlon annonce vouloir commercialiser en France un voile islamique, le hijab, pour faire de la « course à pied ». C’est la polémique du « hijab de running ». En quelques heures, des milliers de Français affirment leur opposition à la promotion de ce voile islamique. L’entreprise tente de défendre son choix, puis renonce dans la même journée. Les médias politiquement corrects sont pris de court, tout comme les politiques pro-islam. En refusant le chantage à la victimisation des militants de l’islam, les Français peuvent encore imposer leur propre tempo. Afin de mettre un terme à l’islamisation de leur pays.


Pour aller plus loin

Pétition contre l’islamisation de la France : https://damocles.co/non-islamisation-france/

Notre désintox sur le parti politique musulman UDMF qui se présente aux Européennes : https://damocles.co/desintox/parti-musulman-elections-europeennes/

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