Pétition contre le retour des djihadistes : https://damocles.co/stop-djihadistes/

Un cauchemar bien réel. Le ministre des Affaires étrangères, Jean-Yves Le Drian, vient d’annoncer le financement de près d’un million d’euros des « camps et rassemblements de déplacés et de réfugiés du Nord-est syrien ». Qui composent ces camps ? Des civils syriens… et des djihadistes de l’État islamique, arrêtés par les Kurdes et la coalition internationale. Vous avez bien lu : vos impôts vont servir à financer les membres de « Daech », ennemis de la France, ayant combattu pour notre mort.

Les médias politiquement corrects tentent d’évoquer les « conditions extrêmes » de ces camps, comme celui d’Al-Hol en Syrie, où les femmes et les enfants djihadistes « s’entassent » selon Ouest-France. « C’est une catastrophe, on est en train de recréer l’État islamique dans ce camp » poursuit l’avocat-militant Marie Dosé. Comme ses confrères William Bourdon et Vincent Brengarth, Dosé milite pour le retour en France des djihadistes. Mais les élans victimaires s’effacent devant la réalité en Irak et en Syrie.

Dans le camp d’Al-Hol, plus de 9 000 femmes et enfants étrangers sont déjà « étroitement associés à l’État islamique » selon France Info. Si l’État islamique ne se reconstitue pas directement dans ces camps, il y survit. Pire encore, seules quelques « dizaines » de personnes à Al-Hol ont la nationalité française. Le gouvernement Macron va donc utiliser près d’un million d’euros pour secourir des djihadistes qui ne sont même pas nés sur notre sol, dans leur immense majorité.

Les témoignages recueillis sur place sont éloquents : « C’est comme si on était encore dans l’Etat islamique, sauf qu’on est enfermées dans un camp et que tout le monde fait sa vie » avoue une femme djihadiste. « On ne veut pas retourner en France, mais il ne faut pas nous rapatrier en Irak, parce qu’ils vont nous pendre, ils vont nous tuer » ajoute une autre. Le gouvernement va ainsi financer des camps où les djihadistes, loin d’un « repenti » factice, cherchent seulement à éviter la Justice et les conséquences de leurs actes criminels. Des djihadistes prêts à vivre de l’ « aide humanitaire » en faisant subsister leur « califat ».

Avec l’argent des Français, ils peuvent survivre et se préparer à poursuivre le combat contre nous. « C’est Baghouz à Al-Hol ! » clame fièrement une djihadiste, évoquant le dernier bastion de l’État islamique qui survit dans le camp d’Al-Hol. L’EI « est toujours dans nos cœurs et ça, personne ne pourra l’enlever. Même si là, il n’y est plus, il va revenir » affirme une autre djihadiste.

Une question se pose : combien de temps allons-nous financer nos ennemis ? Combien de témoignages, combien d’attentats en France faudra-t-il pour que le politiquement correct s’achève ? Allons-nous subir le chantage de ces djihadistes prêts à faire survivre l’État islamique à l’aide de vos impôts ? Il est plus que jamais urgent de se mobiliser afin de réclamer une fermeté sans faille de la part des autorités envers les djihadistes. Signez la pétition contre le retour des djihadistes en France et tout type de financement pouvant leur bénéficier : https://damocles.co/stop-djihadistes/.

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