Plan banlieues :
combien de milliards encore gaspillés ?

 

Plus de 100 milliards d’euros dépensés en 30 ans

« Plan banlieues ». Voilà deux mots que les Français ont pris l’habitude d’entendre depuis de nombreuses années. Et pour cause.

Dans les années 1980, une fois la gauche au pouvoir, les plans se succèdent comme outil de communication face aux violences urbaines. Des émeutes de Vénissieux en 1981 naissent les Zones d’éducation prioritaires (ZEP). De celles de Vaulx-en-Velin en 1990 émerge le ministère de la Ville et du Droit au logement. Déjà, les violences et les dégradations sont « récompensées » de milliards d’euros pris aux Français.

Cette folle mécanique s’accélère au tournant des années 2000. Le gouvernement socialiste de Lionel Jospin dépense plus de 8 milliards d’euros pour les « quartiers difficiles », tout en taxant les villes qui n’en veulent pas. C’est la loi de Solidarité et renouvellement urbain (SRU) imposant 20 % de « logements sociaux » dans les communes. Un homme finit même par synthétiser cette idéologie. Son nom : Jean-Louis Borloo.

Ministre délégué à la Ville, il lance en 2003 une Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU). Celle-ci dépense 47 milliards d’euros dans la démolition-reconstruction et la « réhabilitation » des logements de banlieues islamiques. C’est davantage que le budget de l’Education nationale.

Des mesures inefficaces et jamais remises en question

Quinze ans plus tard, 15 000 « associations d’insertion » ont été créées et subventionnées dans des milliers de quartiers islamiques. Outre la remise à neuf de logements, les enseignes de proximité, les équipements scolaires et sportifs s’y sont multipliés. Pourtant, rien ne semble avoir changé. Le chômage, l’insécurité, l’échec scolaire n’ont pas diminué.

Jean-Louis Borloo réclame à nouveau 48 milliards d’euros pour les banlieues islamiques. Un énième plan de « Réconciliation nationale » est mis en avant, basé sur le mêmes constats de « repli communautaire », les mêmes culpabilisations d’ « apartheid » et les mêmes promesses d’un « retour de la République ». Comme si aucune leçon n’avait été tirée des échecs passés.

Sans le moindre cap, les mesures préconisées par Borloo s’entassent telle une liste de courses dont le contribuable français devrait simplement payer la note :
– 1 milliard d’euros pour avoir le petit-déjeuner et le déjeuner gratuits dans les écoles et les collèges de banlieue islamique.
– 4 voyages scolaires et extrascolaires promis à chaque enfant de banlieue islamique « dans des conditions financières abordables pour leurs parents, jusqu’à la quasi gratuité. »
– 300 millions d’euros pour créer 30 000 places de crèches supplémentaires dans les banlieues islamiques.
– 1 milliard d’euros pour y bâtir 200 campus numériques comprenant « les outils digitaux les plus innovants ». Et 200 millions d’euros de fonctionnement par an.
– 200 millions d’euros pour renforcer l’offre de transports à tous les niveaux et la « mobilité douce » : location de vélos, aide au permis de conduire…
– 170 millions d’euros par an pour les « projets culturels » de banlieue islamique, notamment associatifs.
– 5 000 « coachs d’insertion par le sport » recrutés et 10 000 euros offerts aux 15 000 clubs amateurs de banlieues islamiques, afin de « préparer 10 000 jeunes aux Jeux Olympiques 2024 ».

Plus révélateurs encore sont les 100 millions d’euros attribués au volet sécuritaire, avec notamment le déploiement de 500  « correspondants de nuit », relais de la police municipale. Des postes d’informateurs, comme il en faudrait en terrain ennemi. C’est là que le voile commence à tomber sur le véritable mal qui ronge ces quartiers islamiques.

Acheter la « paix sociale » à tout prix

Si les bienpensants s’acharnent depuis quarante ans à déverser de l’argent public dans les banlieues islamiques, c’est qu’ils refusent d’admettre ouvertement que le problème dépassé l’économie et touche aux questions culturelles et cultuelles. La police, les pompiers, les médecins y sont quotidiennement rejetés ou agressés en tant que représentant d’un pays, la France, que l’on ne reconnaît plus.

Privées de soutien médiatique, les populations chrétiennes fuient ces quartiers islamiques, en silence, depuis des dizaines d’années. Les juifs suivent.

Ceux qui restent n’ont plus qu’à se soumettre aux règles d’un islam qui chapeaute chaque jour davantage un nouvel ordre, un Etat dans l’Etat.

Points d’entrée au quartier, surveillance des tenues vestimentaires, contrôle des sacs de course… La plupart des élus locaux sont au courant mais ferment les yeux au nom de la « paix sociale » ou s’arrangent avec les islamistes pour conserver leurs mandats.

La peur de voir se reproduire les émeutes de 2005 façonne une politique d’assistanat toujours plus victimaire pour les banlieues islamiques et coûteuse pour l’ensemble des Français. En 2013, le gouvernement socialiste de Jean-Marc Ayrault décide d’y concentrer tous les moyens de la politique de la Ville, soit 500 millions d’euros par an. 5000 euros sont en outre offerts à chaque entreprise y recrutant un « jeune non diplômé ». Le rapport Borloo préconise même la création d’une ENA réservée aux «banlieusards », à 60 millions d’euros de budget par an…

Pendant ce temps, dans le reste du pays, des millions d’habitants voient leurs impôts augmenter sans contrepartie ; des milliers d’étudiants courbent l’échine et doivent travailler durs en respectant les règles communes.

Macron, un président contre « les blancs »

Les banlieues françaises, centre de toutes les attentions politiciennes et de tous les financements, contiennent six millions de personnes. Moins de 10% de la population totale vivant en France.

En comparaison, la France périurbaine, « périphérique » comme la décrit parfaitement le géographe Christophe Guilluy, représente près de 60% des Français. Eloignée des centres économiques, c’est elle qui subit chaque jour les fermetures de bureaux de poste ou de lignes de train, le manque d’argent pour la police et les hôpitaux. C’est cette France qui se paupérise en silence, écoeurée de toujours passer au second plan des politiques publiques.

Cette France qui ne casse pas, car elle a encore conscience d’un patrimoine commun.

Cette France qui ne brûle pas de voitures, car elle sait les efforts nécessaires pour s’en acheter une.

C’est elle que les politiques indignes n’ont cessé d’exploiter pour financer les banlieues islamiques. Pour préserver u« Plan banlieues »ne « paix sociale » de façade, quand chacun sait que l’état de guerre avance, quartier par quartier, renoncement par renoncement. Depuis trente ans, cette posture permet à des politiques de repousser la catastrophe après leur mandat.

Au bout de l’indécence et de l’affolement, Macron en vient désormais à clamer que l’idée de « plan » pour les banlieues islamiques était une mauvaise idée de « blancs ».

Macron désigne un islamiste pour s’occuper des banlieues

Au delà du choc des mots, il faut comprendre le niveau de perversion qui est à l’oeuvre. Macron est volontairement allé chercher Borloo, symbole de quarante années d’échecs, pour pouvoir ostensiblement s’en démarquer. Paraître différent. Mais c’est une simple posture de communicant qui annonce pire.

En racialisant officiellement la question des banlieues islamiques, Macron ouvre une nouvelle étape de sécession au cœur de notre pays. Il légitime les mouvements « indigénistes » et « anti-blancs » d’extrême-gauche, ceux qui rêvent de l’Afrique du Sud où des individus blancs sont quotidiennement chassés et tués dans l’indifférence internationale.

Une génération élevée dans la haine de l’Histoire de France s’apprête désormais à tirer les ficelles de budgets publics, c’est-à-dire financés par les impôts des Français. Exit Jean-Louis Borloo, place à l’islamiste Yassine Belattar. Les « mâles blancs » honnis par Macron, ça vient de lui. Derrière une façade d’humoriste, Belattar déclare notamment que « les Blancs de plus de soixante ans sont peut-être la clé du problème » et qu’ « il n’y a pas de modération dans une religion. On est musulman ou on ne l’est pas ».

Soutenu par les banlieues islamiques, il considère désormais Emmanuel Macron comme son « frère ». Dans l’islam, c’est ainsi que l’on s’interpelle entre musulmans.

Simplement converti aux prêches opportunistes de Belattar, Macron espère probablement s’acheter quelques années sans émeute et un électorat pour être réélu. Tandis que l’islamisation progresse dans la rue et dans les esprits ne reste aux Français que leur propre conscience pour enfin dire « STOP ! »

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